Le printemps éreinte
Une parcelle de temps,
A contrevent;
Combien d’instants ?
Quand bien m’aime,
Je le lui rends…
Au clou de mes actes,
Ô, centuple Télémaque.
Puis l’été brûlant,
Comme un rocher,
Nos peaux hamac,
Et ses verts jets.
Cassiphoné reçoit,
Offre, une image,
Clématite à reflets
Bois violet, parfumée,
Nage]
Dans nos veinules élytre
Dors, le temps Automne,
Apprivoisé, dorlotant.
Avec ambages.
L’hiver salamandre,
S’évapore, en buée,
Chimie Amalthée]
Eva naissante
D’un baiser scaphandre.
# YD 05/08
samedi 2 mai 2009
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1 commentaire:
superbe,
mais ivad
vous parlez bien de Clématite?
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